Le staff technique de l'équipe nationale continuera à travailler davantage sur l'efficacité au niveau offensif, a affirmé samedi soir à Marrakech, l'entraineur de l'équipe nationale, Rachid Taoussi.
"L'équipe nationale a nettement dominé notamment dans les dernières minutes de la deuxième mi-temps du match sans pouvoir concrétiser les occasions qu'elle s'est créées ", a-t-il ajouté lors d'un point de presse à l'issue du match ayant opposé au Grand Stade de Marrakech, le Maroc à la Gambie pour le compte des éliminatoires de la Coupe du monde 2014.
L'important pour le staff technique c'est que l'équipe nationale ait pu retrouver son style de jeux en deuxième mi-temps, s'est réjoui M. Taoussi, relevant que le match de samedi n'as pas été de tout repos pour la sélection marocaine.
"L'adversaire de samedi a été une équipe coriace qui a aussitôt réagi après le premier but marqué", a-t-il fait observer, faisant savoir que le staff technique n'a cessé de répéter aux joueurs tout au long de cette semaine, qu'il ne fallait du tout sous-estimer cette équipe.
Toutefois, M. Taoussi a reconnu que la Gambie était le maillon faible du groupe, ajoutant que si la sélection nationale avait gagné le match aller, le parcours de l'équipe nationale aurait été autre, sachant que dans ce type d'éliminatoires, une victoire au premier match pouvait donner un élan à l'équipe dans les autres confrontations.
M. Taoussi a en outre noté que la température élevée a énormément pesé sur la fraicheur physique des joueurs de l'équipe nationale.
Il a exprimé sa satisfaction quant au rendement de certains joueurs, notamment le gardien Mohamed Amsif, qui a été décisif dans ces interventions.
Il en va de même pour Zakariya Bergdich, Abdelaziz Barrada et Younès Belhanda, qui a démontré qu'il a son poids au sein de l'équipe nationale, a relevé M. Taoussi
Tant que l'équipe nationale a des chances de se qualifier, elle les défendra, a-t-il affirmé, faisant savoir que la sélection affrontera en match amical le Burkina Faso, finaliste de la dernière coupe d'Afrique, avant son déplacement à la Côte d'Ivoire en août prochain.
